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POURQUOI ARGOS SOUTIENT L’AUTODÉFENSE

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La naissance d’Argos a été accompagnée d’un manifeste, afin de définir notre vision pour la jeunesse européenne.

1 an après notre lancement, dans le sillage de notre action choc à Cherbourg pour dénoncer la démission de l’État qui a failli coûter sa vie à Mégane, nous pourrions remplacer les 850 mots de notre manifeste par un seul qui résume à lui seul tout notre projet :

« Autodéfense. »

La justice nous reproche notre slogan « Prépare-toi », car il s’agirait d’un appel à la violence.

Ils se trompent. 

Et puisqu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, nous avons décidé d’exposer notre conception de l’autodéfense ici-même.

Alors, POURQUOI l’autodéfense ?

  1. Parce nous ne croyons plus au “soutien inconditionnel aux forces de l’ordre”

La police, c’est le bras armé de l’État.

Dans une société normale, les forces de l’ordre luttent contre les criminels, protègent les honnêtes gens et s’assurent que la société ne tombe pas dans l’anarchie.

Mais quand l’État refuse de faire appliquer les OQTF, fait en sorte que les barbares comme Oumar ne voient jamais l’intérieur d’une cellule et cherche par tous les moyens à faire rentrer le maximum d’immigrés en France, alors la police participe à normaliser le remplacement de population et l’impunité pour les sauvages.

Nous savons qu’il existe des policiers qui partagent nos idées et qui détestent appliquer ces ordres. Leur situation est difficile. Il n’empêche que leur travail consiste justement à suivre les ordres.

Et les ordres sont donnés par Darmanin et Macron, pas par nous.

ARGOS n’est pas une organisation anarchiste. Nous ne scandons pas « ACAB » aux côtés des gauchistes et des criminels. Dans la société idéale (celle où les dirigeants se donnent pour mission de protéger les Français), il faudra des policiers pour remplir cette mission. 

Et ce jour-là, il sera légitime de soutenir les forces de l’ordre en postant #SIFDO sur Twitter.

Mais nous sommes réalistes : tant que nos ennemis sont au pouvoir, il est suicidaire de soutenir ceux qui exécutent leurs ordres, et il est irresponsable de ne pas nous prendre en main dès maintenant.

  1. Parce que la police ne sera pas toujours capable de venir vous aider.

Lola, Enzo, Mégane…

La liste des martyrs de l’ultraviolence du quotidien s’allonge chaque semaine, dans une quasi-routine.

Face au niveau de violence endémique, les forces de l’ordre sont dépassées et ne mettent déjà plus les pieds dans les cités. Mais cette démission de la puissance publique ne va pas s’arrêter là. Bientôt, ce seront des quartiers entiers qui seront abandonnés par l’État… et malheur à ceux qui se retrouveront ensevelis sous la racaille.

Alors plutôt que d’attendre au téléphone que la police intervienne quand des cambrioleurs sont en train de forcer votre porte d’entrée, vous feriez mieux d’être capable d’assurer votre sécurité. Ce n’est pas seulement une nécessité, c’est un droit fondamental du citoyen.

C’est pour cette raison que nous défendons 2 mesures légales sans lesquelles il n’y a aucun espoir de préserver la sécurité des familles françaises : 

  1. D’une part, nous réclamons la SANCTUARISATION DU DOMICILE, qui donne le droit à un individu de défendre son domicile contre n’importe quelle intrusion. Ce principe est déjà en application dans de nombreux pays européens et permettra d’éviter les injustices qu’ont subies Daniel Malgouyres en 2017 ou Papy Galinier en 2010.
  1. D’autre part, nous réclamons la REFONTE DE LA LÉGITIME DÉFENSE sur le modèle suisse. Il faut non seulement prendre en compte de l’état de stress psychologique pour les victimes mais également remplacer le principe d’« immédiateté » par celui du « temps global de l’action », plus réaliste.

Contrairement à ce que racontent les médias de gauche et la justice, nous n’appelons pas à transformer la France en Far West. Au contraire, nous appelons à la prise de conscience – chaque Français doit comprendre que l’État ne peut plus ou ne veut plus lui venir en aide.

C’est ça, la première étape indépassable pour mettre un terme au glissement dans l’ultraviolence que connaît notre pays.

  1. Parce qu’ils ont leur bande.

C’est un scénario bien connu : un Français a une altercation avec une racaille. Sauf que dans la France de 2023, les racailles ne sont jamais seules. Le 1 contre 1 se transforme systématiquement en 1 contre 4, ou 5, ou 10. L’embrouille finit en lynchage à coups de pieds dans la tête.

Dans le voisinage d’Oumar, tout le monde savait qu’il frappait sa mère et qu’il semait la terreur. Mais personne n’a rien fait car les habitants sont désorganisés. Un barbare peut terrifier un immeuble à lui tout seul.

Le drame du jeune Français moyen, c’est qu’il est isolé : il a des collègues, des camarades de classe et (s’il est chanceux), une famille sur laquelle il peut compter.

Mais il n’a pas de clan sur lequel s’appuyer. Or, c’est justement ce clan qui permet d’être protégé. 

C’est précisément la mission d’ARGOS : incarner ce clan pour tous les jeunes hommes et les jeunes femmes françaises de souche européenne qui ne veulent plus être à la merci des bandes qui prennent chaque samedi soir comme une répétition d’Orange Mécanique.

« Deux qualités sont donc indispensables au rebelle. Il refuse de se laisser prescrire sa loi par les pouvoirs, qu’ils usent de la propagande ou de la violence. Et il est décidé à se défendre. »

Ernst Jünger, Traité du Rebelle.