Ce matin à 8 heures, une cinquantaine de jeunes activistes d’Argos se sont rendus dans le 10e arrondissement de Paris pour procéder à une fermeture symbolique de la salle de shoot inaugurée par Anne Hidalgo en 2016 et pour déployer une banderole et verser du sang et des seringues devant l’entrée.
Par leur action, les militants d’Argos signalent leur opposition totale à la forfaiture de l’État, qui institutionnalise la culture de la drogue sur notre propre sol. Depuis l’ouverture de cette salle de shoot à Paris, une autre a été mise en place à Strasbourg. Face à l’explosion de la consommation de crack dans la capitale, les pouvoirs publics préfèrent capituler et créer de véritables enclaves pour l’autodestruction que de mener la lutte contre ce fléau.
La drogue n’est pas seulement une menace pour la santé de tous les jeunes Français – c’est également un véritable piège nihiliste et un instrument de leur asservissement.
En outre, la prolifération de la culture de la drogue en Europe (aidée par une immigration hors de contrôle) s’est systématiquement soldée par une emprise toujours plus forte des réseaux de criminalité organisée sur notre territoire et sur nos vies : les Pays-Bas sont un exemple flagrant de l’influence mortifère des seigneurs de la « came » sur la vie politique nationale.
Argos incarne une jeunesse qui refuse de voir la France tomber dans les mains des narcotrafiquants et de leurs complices politiques.
Argos s’oppose à ce projet destructeur pour les jeunes générations et affirme haut et fort sa détermination totale à lutter contre la transformation de la France en narco-État qui ne dit pas son nom.
Contre leurs délires nihilistes, il est temps pour toi de relever la tête et de rejoindre les tiens.
